L’événement de bikepacking autonome Bear Bones 200/300 met au défi ceux qui sont assez courageux pour affronter des terrains et des ascensions difficiles. Lars Henning était le seul coureur à avoir terminé la version 300 km cette année. Lisez son histoire ici
Arrière Plan
Le Bear Bones 300, un frère long de 300 kilomètres du Bear Bones 200 (un événement annuel de bikepacking ITT au Pays de Galles), est le Bear Bones 300. Cette année, le BB200 célèbre son 10e anniversaire. Le parcours change chaque année mais il y a certains thèmes que la communauté Bear Bones connaît bien.
Il y a des sections de chaque itinéraire qui semblent ambiguës. La trace GPX est une suggestion et relie des points sur une carte obsolète de l’Ordnance Survey. Ce terrain convient à la randonnée à vélo ou au trot dans les tourbières en raison de la quantité de précipitations au Pays de Galles. Les cyclistes peuvent s’attendre à traverser des montées abruptes, une navigation difficile, une conduite technique dans des conditions marécageuses et de nombreux mécanismes de verrouillage créatifs aux portes de la ferme. Vous ne vous attendez peut-être pas à un rythme plus lent. Ce n’est pas une course sur terre.
Ces choses ne doivent pas vous décourager. C’était mon cinquième Bear Bones 200/300 et, même si j’admets que c’est du plaisir de type 5 cm, il doit y avoir une raison pour laquelle nous revenons sans cesse à cet événement en tant que bikepacking ITT le plus ancien de Grande-Bretagne. Ce sont les paysages calmes et désolés du Pays de Galles qui m’attirent. Les couleurs luxuriantes et la végétation vibrante sont complétées par la sensation sauvage et folle de se perdre dans les touffes la nuit.
Récapitulatif De La Course
J’ai pris une décision concernant mon choix de vélo sans hésitation. Parce que c’était confortable pour moi, j’ai choisi le Highball. Le kit était fondamentalement le même, à l’exception de la paire de roues Hunt XC plus légère, des mudhuggers complets et des bottes de neige Shimano XM9. J’ai une mauvaise circulation. Comme d’habitude, j’ai utilisé les lampes d’exposition et le Garmin eTrex Touch35.
Ali a créé The Walking Hub à Kington en tant que B&B confortable pour les amateurs de plein air. Je l’ai visité. Quiconque est intéressé par la randonnée ou le vélo autour de Hay-on-Wye ou de Kington adorera cet endroit. Ali, un randonneur, est très sympathique et attentionné. Son granola maison est délicieux.
Départ de Kington 0
Bien que la montée de Hay Bluff ait été facile et régulière, le brouillard s’est transformé juste avant d’atteindre le sommet. Cela m’a empêché de prendre des photos panoramiques. Cela a peut-être contribué à mon errance hors piste. J’ai fini par suivre une légère piste de moutons vers la gauche, qui était parallèle à la piste principale sur environ un kilomètre. Mon erreur m’a fait me maudire, mais j’ai pu l’oublier en atteignant la descente technique de la vallée de l’Olchon. Divulgation complète: j’ai en fait parcouru 100 m sur des rochers glissants et escarpés.
Alors que je m’approchais de Pandy, les choses ont commencé à me sembler familières. J’ai traversé les Montagnes Noires plusieurs fois auparavant. Eugene, pilote BB200, m’attendait au sommet d’une montée raide. Cela a été suivi d’une randonnée en motocross à travers les arbres. Il a été récompensé par la section classique Blaen yr Henbant de la voie Beacons descendant vers Crickhowell.
À quelques kilomètres de Crickhowell, Steve Waters, un vétéran des Peaks qui roulait sur le parcours BB200, m’a rencontré. Sur le chemin de la ville, nous avons partagé des histoires sur nos manèges. Steve et moi nous sommes arrêtés à la fontaine d’eau pour remplir nos bouteilles d’eau. Je ne me suis pas arrêté pour manger parce que j’avais emballé un sac de pizzas et de sandwichs. Je voulais me rendre à Builth pour manger. J’ai fait signe à Steve et j’ai continué à rouler.
La montée régulière de Crickhowell s’est accompagnée d’un fort vent de face qui m’a épuisé jusqu’à ce que j’atteigne le vélo de randonnée pour rejoindre le Beacons Way. Il offrait une vue sur le réservoir de Talybont, juste au moment où le soleil se levait pour rendre cette balade plus photogénique.
Mon emploi du temps était basé sur mon rythme. J’aurais dû être à Builth à 22h00.
J’ai senti le froid et j’ai décidé de me superposer avant de me lancer dans l’ascension de Builth. Cela m’a conduit à des voies calmes et roulantes. L’itinéraire offrait plus de défis que la navigation facile. Une fois, je marchais dans des navets, puis j’ai réalisé que j’étais juste à côté d’une piste de gravier.
La fatigue a commencé à m’épuiser au fil des heures. Je faisais plus de mal que de bien, et j’ai réalisé que je ferais mieux de dormir si je voulais terminer le parcours. Autour de 0
A 0 l’alarme retentit.
Je suis arrivé à Knighton tranquille juste à temps pour prendre le petit déjeuner. J’ai mangé une énorme omelette, des frites, deux tasses de café et un gâteau aux carottes. J’ai pu étouffer les wombats. C’était mieux ! Mes jambes ont recommencé à travailler, je pouvais voir le soleil briller à travers mes yeux, et c’était une sensation formidable ! Il n’y avait que quelques montées et sections plus lentes sur les 70 km restants. C’était beaucoup plus facile que mes errances nocturnes.
Réflexion
J’ai fini à 1
Rich, Eugene et Steve Waters, qui roulaient tous le même jour, m’ont remonté le moral. C’était presque suffisant pour me faire oublier les circonstances inhabituelles de l’événement de cette année. Plus tard, j’ai appris que Steve Large et Alex Berry, Steve Chapman et Steve Chapman roulaient également ce jour-là. Chacun de nous a commencé à des moments différents et à partir de points différents. Certains roulaient sur le 200, tandis que d’autres roulaient sur le 300. Bien qu’il soit un peu étrange de ne pas avoir le départ groupé à Llanbrynmair cette fois, je pense que nous en avons profité avec un super bantz avant et après le trajet sur Bear Forum des os.
Félicitations à tous ceux qui ont participé à l’événement Bear Bones de cette année !
